Concerts de la Cour de l'île : Juliette Magnevasoa + Natascha Rogers
Distractions et loisirs Bel été martégal Concert Jazz et blues Rap, Rnb, Soul Chant / ChansonLieu : La Cour de l'Ile
Contact
Ville de Martigues
Tél : 04 42 42 31 10
Lieu
La Cour de l'Ile
1, quai Lucien Toulmond
Quartier de l'île
13500
Martigues
- Langue(s) parlée(s) :
Présentation
Fadas de musique ? De chanson française, RandB, Soul et Jazz ? Les fadas du Monde vous invitent aux concerts de Juliette Magnevasoa et Natascha Rogers. En plein air dans la Cour de l'île. Gratuit.
- Juliette Magnevasoa.
Juliette Magnevasoa vient de Madagascar ou d’ailleurs, elle a été adoptée petite, et ce début d’histoire, comme les contes, ouvre sur l’aventure de grandir.
La musique vient d’évidence : elle rassemble les pièces du puzzle Juliette Magnevasoa. Elle rejoint ses deux terres et elle l’ouvre à plus vaste.
Quand elle joue, qu’elle compose, qu’elle écrit, elle est le bocal et le poisson qui nage dedans.
Tout à la fois à l’intérieur et à distance. L’intime, une fois travaillé par la musique, peut exister au dehors, vers les autres.
- Natascha Rogers
Née aux Pays-Bas d’une mère hollandaise et d’un pater-mystère aux origines amérindiennes, la jeune Natascha Rogers couve ses quatre frères, déménage souvent et s’arrime au piano, un monde en soi, un ancrage, un repère, lorsque l’horizon tangue trop. Breda, Belgique, Californie puis Bordeaux… Ce qui ne change pas, c’est ce piano droit sur lequel, une gamme après l’autre, Natascha Rogers développe ses dons de mélodiste en répiquant les Children’s Songs de Chick Corea ou le répertoire océanique de Yann Tiersen.
Jusqu’au jour où, Natascha Rogers découvre, comme une énigme à décrypter, une paire de congas déposée par son père en coup de vent, en secret, sur le perron de la maison. Sensible à l’appel ancestral des tambours, elle parcourt alors l’Atlantique Noire pendant plusieurs années pour recevoir l’enseignement des plus grands maîtres percussionnistes mandingues et afro-cubains. Dès lors, Natascha Rogers s’épanouit dans une pratique humble, collective et thérapeutique de la musique, décuplant son savoir-faire rythmique au gré des grooves et des chemins. Mais comment trouver le sien ? En faisant le vide, en habitant les ombres, à l’écoute de ce qui bruisse en souterrain. D’instinct, Natascha Rogers le sait : puissance et vulnérabilité vont de pair, elles requièrent le courage d'être soi et de s’autoriser à le montrer.
Une mue, une mise à nue : avec Onaida, c’est donc le pari de Natascha Rogers qui renoue pour cela avec son premier instrument. D’ostinatos en incantations, Onaida dévoile un territoire poétique très personnel peuplé de rivières pianistiques et de chants de la Terre soutenus par les pulsations rituelles des tambours batá. En anglais, en espagnol ou en yoruba, Natascha Rogers déploie sur le dos de ses claviers autant de ballades intimes que de prières universelles, tour à tour inspirées par le serpent mythique qui la visite en rêve, la poétesse amérindienne Joy Harjo, les femmes sauvages de la conteuse américaine Clarissa Pinkola Estes et les esprits de la santería cubaine.
Juliette Magnevasoa vient de Madagascar ou d’ailleurs, elle a été adoptée petite, et ce début d’histoire, comme les contes, ouvre sur l’aventure de grandir.
La musique vient d’évidence : elle rassemble les pièces du puzzle Juliette Magnevasoa. Elle rejoint ses deux terres et elle l’ouvre à plus vaste.
Quand elle joue, qu’elle compose, qu’elle écrit, elle est le bocal et le poisson qui nage dedans.
Tout à la fois à l’intérieur et à distance. L’intime, une fois travaillé par la musique, peut exister au dehors, vers les autres.
- Natascha Rogers
Née aux Pays-Bas d’une mère hollandaise et d’un pater-mystère aux origines amérindiennes, la jeune Natascha Rogers couve ses quatre frères, déménage souvent et s’arrime au piano, un monde en soi, un ancrage, un repère, lorsque l’horizon tangue trop. Breda, Belgique, Californie puis Bordeaux… Ce qui ne change pas, c’est ce piano droit sur lequel, une gamme après l’autre, Natascha Rogers développe ses dons de mélodiste en répiquant les Children’s Songs de Chick Corea ou le répertoire océanique de Yann Tiersen.
Jusqu’au jour où, Natascha Rogers découvre, comme une énigme à décrypter, une paire de congas déposée par son père en coup de vent, en secret, sur le perron de la maison. Sensible à l’appel ancestral des tambours, elle parcourt alors l’Atlantique Noire pendant plusieurs années pour recevoir l’enseignement des plus grands maîtres percussionnistes mandingues et afro-cubains. Dès lors, Natascha Rogers s’épanouit dans une pratique humble, collective et thérapeutique de la musique, décuplant son savoir-faire rythmique au gré des grooves et des chemins. Mais comment trouver le sien ? En faisant le vide, en habitant les ombres, à l’écoute de ce qui bruisse en souterrain. D’instinct, Natascha Rogers le sait : puissance et vulnérabilité vont de pair, elles requièrent le courage d'être soi et de s’autoriser à le montrer.
Une mue, une mise à nue : avec Onaida, c’est donc le pari de Natascha Rogers qui renoue pour cela avec son premier instrument. D’ostinatos en incantations, Onaida dévoile un territoire poétique très personnel peuplé de rivières pianistiques et de chants de la Terre soutenus par les pulsations rituelles des tambours batá. En anglais, en espagnol ou en yoruba, Natascha Rogers déploie sur le dos de ses claviers autant de ballades intimes que de prières universelles, tour à tour inspirées par le serpent mythique qui la visite en rêve, la poétesse amérindienne Joy Harjo, les femmes sauvages de la conteuse américaine Clarissa Pinkola Estes et les esprits de la santería cubaine.
Période(s) d'ouvertureLundi 4 août 2025 de 21h30 à 23h.
Équipements, Services, Confort
- Typologie Promo Sitra :
- En plein air
- Sorties nocturnes
Tarifs
Gratuit.
Destination
1, quai Lucien Toulmond
Quartier de l'île
13500
Martigues
Coordonnées GPS
Latitude : 43.405009
Longitude : 5.051171
Nous vous suggérons également...